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VIDÉO. Vendée Globe. 40 secondes de mauvais temps dans le pot au noir filmées par un skipper
C’est comment le pot au noir ?
Parfois trop calme, mais aussi parfois trop venté, brumeux, pluvieux et toujours imprévisible.
La preuve avec Sébastien Simon, actuel troisième du Vendée Globe à bord de son Imoca Groupe Dubreuil.
Un parfum d’aventure.
Voiles et Voiliers – Modifié le 21/11/2024 à 17h47
Ce ne sont que quarante secondes de vidéo, mais elles en disent long sur ce que traversent en ce moment les marins du Vendée Globe : le mythique pot au noir.
Parfois les voiles claquent, le bateau reste encalminé et les marins s’arrachent les cheveux pour progresser à l’intérieur de ce marasme météorologique aussi appelé zone de convergence intertropicale.
Mais parfois le vent mone très fort sous un grain. Souvent aussi, la visibilité est réduite sous des trombes d’eau.
C’est ici que s’affrontent les grands systèmes météo de l’hémisphère Nord et ceux de l’hémisphère Sud, pour faire simple sous les influences opposées de l’anticyclone des Açores au Nord et de l’anticyclone de Sainte Hélène au Sud.
Sébastien Simon, actuel troisième du Vendée Globe sur son monocoque Groupe Dubreuil nous offre quarante secondes en immersion dans cette zone qui borde l’équateur.
Disons que c’est spectaculaire, mais que ça ne fait pas vraiment envie…
« Le vent a tourné de 80 degrés ! Il est monté à 25 nœuds, il pleut… Voilà le pot au noir.
Il n’y fait pas toujours beau. » commente le skipper en filmant les vagues, le vent, la pluie et son bateau qui penche.
VOIR AUSSI : VIDÉO. Vendée Globe. Au cœur d’un méchant grain dans le pot au noir, avec Justine Mettraux
Parés à embarquer pour une petite session de bateau penché sous la pluie ?