Dans ce hors-série, à quelques jours du départ du Vendée Globe, nous irons à la rencontre de skippers, de femmes et d’hommes qui œuvrent pour réduire l’impact environnemental de la course, nous rendrons hommage à la splendeur du monde sous-marin et aux artistes fascinés par cet univers.
La couverture du nouveau numéro « Océan. La mer est notre avenir » consacré en partie au Vendée Globe qui s’élancera le 10 novembre prochain. | OUEST-FRANCE
Ouest-France. Publié le 22/10/2024 à 18h42
« Vendée Globe, l’esprit grand large », le hors-série Océan est en kiosque
Dans ce quatrième numéro d’Océan, à quelques jours du départ du Vendée Globe, nous irons à la rencontre de skippers, de femmes et d’hommes qui œuvrent pour affiner les technologies et réduire l’impact environnemental de la course, nous rendrons hommage à la splendeur du monde sous-marin et aux artistes fascinés par cet univers.
Existe-t-il un point commun entre Marie Tabarly et Paul Meilhat ?
La première vient de remporter l’Ocean Globe Race, une course de huit mois, en équipage, à l’ancienne, sans ordinateur, sans technologie.
Le 10 novembre, le second sera sur la ligne de départ du Vendée Globe, à la barre d’un bateau récent, rapide, équipé de foils, avec pour ambition de franchir le premier la ligne d’arrivée en janvier prochain.
Deux philosophies, deux univers de la course au large diamétralement opposées.
Et pourtant, à travers leurs portraits à lire dans ce quatrième numéro d’Océan, les deux quarantenaires partagent beaucoup de valeurs communes.
Ce même amour et ce même attachement à l’océan.
Les mêmes questionnements, les mêmes inquiétudes quand ils constatent la fragilité de notre écosystème marin.
Notre dossier consacré à la course au large est aussi l’occasion de comprendre comment la technologie peut se mettre au service de l’environnement.
Autre univers, sous l’eau cette fois-ci, notre consœur-plongeuse, Corinne Bourbeillon, photographe de la faune et de la flore, nous emmène à la découverte des joyaux qui peuplent nos fonds marins.
La mer est aussi une formidable source d’innovations.
À Marseille, une centrale de géothermie permet, grâce à l’eau puisée dans la Méditerranée, de refroidir ou de réchauffer la ville en fonction des saisons.
Et puis, l’océan inspire les artistes.
À l’image de la cartographe Marine Le Breton, du designer Samuel Tomatis ou de l’acteur Xavier Lacaille.
Des parcours étonnants dénichés par la rédaction.