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Description générée automatiquement Publié le 20/04/2023

Commentant une étude récente [1] de phase 3[2] sur un traitement complémentaire du trouble dépressif majeur par un antipsychotique de deuxième génération (la cariprazine)[3], l’éditorialiste de l’American Journal of Psychiatry répond « oui » à la question posée par un éventuel « sceptique », à savoir « avons-nous vraiment besoin d’un antipsychotique de seconde génération approuvé pour cette indication ? »

Semblable à d’autres neuroleptiques atypiques lorsqu’ils sont étudiés comme thérapies d’appoint, rappelle l’auteur, l’efficacité antidépressive de cette molécule est évidente, à environ la moitié de la dose couramment utilisée pour traiter la manie ou la schizophrénie.

Dans l’essai randomisé contrôlé de Sachs et collaborateurs, cette efficacité a été établie dans le groupe recevant 1,5 mg/jour mais pas dans le groupe recevant 3 mg/jour, bien que la différence réelle dans l’amélioration des symptômes entre les deux groupes soit « négligeable. »

Mais dans un autre essai contrôlé, des posologies plus importantes (2 à 4,5 mg/jour) ont permis une amélioration significative, contrairement à un groupe de patients traité avec 1 à 2 mg/jour.

Toutefois, précise l’auteur, dans la mesure où des doses plus faibles de cariprazine en complément sont susceptibles d’être mieux tolérées,

Pour lire la suite ???? JIM.fr – Une nouvelle option thérapeutique contre le trouble dépressif majeur

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