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Description générée automatiquement Publié le 15/01/2024

La relation entre traitement substitutif par la testostérone de l’hypogonadisme masculin et cancer de la prostate restent imprécises.

Un vaste essai randomisé plaide en faveur de l’absence de majoration d’événements prostatiques sous TRT, sous réserve d’exclure les hommes à plus haut risque.

Les études épidémiologiques n’ont jusqu’à présent pas mis en évidence d’association ni entre traitement substitutif par la testostérone (TRT) et cancer de la prostate (CP) de haut grade, ni entre TRT et d’autres pathologies prostatiques telles que rétention aiguë d’urine, procédures invasives ou initiation d’un nouveau traitement en cas d’hyperplasie bégnine de la prostate (HBP).

Toutefois, à ce jour, la grande majorité des sociétés savantes ne préconisent pas l’usage du TRT chez des hommes avec antécédent ou risque accru de CP.

L’essai TRAVERSE a été mené afin de déterminer l’impact d’un TRT sur les événements cardiovasculaires.

Cette étude a offert, par son ampleur et sa durée, l’opportunité d’évaluer également le retentissement du TRT sur la pathologie prostatique.

Les résultats de TRAVERSE sur les événements prostatiques

Cet essai clinique randomisé, en double aveugle, en parallèle contre placebo, a enrôlé des hommes âgés de 45 à 80 ans dont les concentrations matinales de testostérone étaient inférieures à 300 ng/dL à 2 reprises à jeun.

Ils présentaient tous au moins un signe clinique d’hypogonadisme et étaient porteurs d’antécédents cardiovasculaire (CV) ou d’un risque cardiaque augmenté.

Pour lire la suite 🡺 JIM.fr – Traitement substitutif par testostérone et risques prostatiques : bonne nouvelle !

Ou m’écrire à 🡺 gacougnolle@gmail.com