Accueil Course au large The Transat CIC
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Tour du monde en solitaire, transatlantique, Arkéa Ultim Challenge, les traversées impliquent tout un tas d’épreuves mentales, de la solitude à bord, à la peur de l’échec.
Et à quelques heures du départ de The Transat CIC, immersion à l’intérieur du cerveau de ces héros des mers.
Jérémie Beyou a fait appel aux services de Thomas Sammut, coach mental, pour l’aider dans sa préparation. DAVID ADEMAS / | OUEST-France
Antoine GRYNBAUM. Publié le 24/04/2024 à 14h18
Ils seront 48 solitaires à s’élancer dimanche de Lorient, direction New York pour une traversée de l’Atlantique vieille de 64 ans (1re course océanique de l’histoire en 1960, appelée auparavant Transat anglaise).
À bord de leurs Imoca notamment, 33 skippers tenteront de boucler leur traversée d’est en Ouest, contre les vents dominants et où les dépressions y sont fréquentes.
Un défi tout autant humain et technologique que mental et psychologique.
Et entre la pointe bretonne et big Apple, ces surhommes auront eu à gérer avaries et problèmes techniques, incertitudes et angoisses.
Alors, quels enjeux mentaux traversent l’esprit d’un navigateur en solitaire ?
Préparateur mental de Thomas Coville, Quentin Delapierre et Corentin Horeau, Thomas Sammut partage leurs forces et faiblesses mentales.
« On travaille sur leur capacité à gérer les temps forts et faibles. L’objectif : qu’ils soient le plus performants, ne pas lâcher même quand ça va un peu moins bien, et inversement ne pas tomber dans l’euphorie quand ça va mieux ».
Méditation et visualisation
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