Accueil Course au large Route du Rhum
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À l’occasion du salon nautique de Paris, architectes, président de la classe Imoca et analystes se sont retrouvés lors d’une table ronde pour dresser le bilan technique de la 12e édition de la Route du Rhum – Destination Guadeloupe. Casses, démâtages, performances et données étaient au programme de cet échange passionnant.
Le Maxi banque Populaire lors de son arrêt technique à Lorient suite à la casse de la dérive centrale. | EASYRIDE BPCE
Propos recueillis par Laurène COROLLER. Modifié le 07/12/2022 à 17h34
Pas d’abandon en Ultim, peu en Imoca et Ocean Fifty
Antoine Mermod, président de la classe Imoca : En Imoca, sur les 38 bateaux au départ, on dénombre seulement quatre abandons ce qui est très positif.
À noter surtout que les sept bateaux neufs mis à l’eau cette année ont franchi la ligne d’arrivée.
Je pense que la classe et les équipes ont vraiment atteint un niveau de maturité.
Xavier Guilbaud, architecte naval VPLP : Le bilan pour la classe Ultim est excellent, quatre ans après la Route du Rhum 2018 où il y avait beaucoup de casse.
Dans l’ensemble, il y a eu de la régate à tous les étages.
Les huit Ultim ont bouclé la Route du Rhum.
En Ocean Fifty, sept bateaux sur huit sont arrivés.
Les casses des années précédentes ont permis d’apprendre beaucoup sur les efforts structurels.
Les donnés ont permis de gagner en fiabilité
Xavier Guilbaud : L’utilisation des données explique en grande partie l’amélioration des performances grâce à la prise en compte des efforts sur les structures, notamment sur les bras des Ultim et leurs appendices …
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