Actualités  –  publiée le 26/09/2022 par Équipe de rédaction Santélog

BMC Medicine

Si l’alimentation est un facteur reconnu de santé osseuse, cette étude est l'une des rares à avoir comparé le risque de fracture en fonction du régime alimentaire (Visuel Adobe Stock 303102897).

Si l’obésité a été liée à un risque plus élevé de fractures chez les femmes, un IMC trop faible pourrait également être un facteur de risque.

C’est la conclusion de cette étude de l’Université de Leeds qui révèle, dans la revue BMC Medicine, un risque plus élevé de fracture de la hanche, chez les femmes végétariennes.

Cette augmentation du risque n’est pas constatée chez les pescétariens, les personnes qui mangent du poisson mais pas de viande.

Si l’alimentation est un facteur reconnu de santé osseuse, cette étude est l’une des rares à avoir comparé le risque de fracture de la hanche en fonction du régime alimentaire.

L’étude qui a suivi durant 20 ans, 26.318 femmes d’âge moyen, participant à la UK Women’s Cohort Study, révèle que celles qui suivent un régime végétarien ont un risque de fracture de la hanche accru de 33 % vs les participantes consommatrices régulières de viande.

Les femmes ont été classées dans l’une des 4 catégories suivantes :

Pour lire la suite 🡺 RÉGIME VÉGÉTARIEN : Un risque de fracture plus élevé ? | santé log (santelog.com)

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