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Description générée automatiquement Publié le 17/01/2024

Le syndrome douloureux sub-acromial (SDSA) est à l’origine d’une douleur de l’épaule non traumatique ; il couvre les diagnostics de bursopathie, tendinopathie et rupture dégénérative des tendons de la coiffe des rotateurs (notamment du supra-épineux), tendinopathie du long biceps et tendinopathies calcifiantes.

Des antalgiques initialement

À la phase initiale, en première intention et selon l’intensité de la douleur, les antalgiques (paracétamol), associé ou non aux antalgiques de palier 2 sont conseillés.

Des précautions particulières doivent être prises chez les patients de plus de 75 ans.

Un syndrome douloureux sub-acromial non-hyperalgique ne nécessite pas d’immobilisation de l’épaule.

L’arrêt de travail n’est pas systématique, mais à adapter à l’activité professionnelle du patient.

En cas de douleur aiguë, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) peuvent être associés aux antalgiques, en cure courte, en l’absence de contre-indication, en raison de leur efficacité sur la douleur.

La posologie doit être adaptée au profil du patient et doit être la plus courte possible.

En l’absence de preuve scientifique d’un rapport bénéfice/risque favorable, les corticoïdes par voie orale ne sont pas à utiliser dans la tendinopathie de la coiffe des rotateurs non calcifiante.

Il se discutent en cas de tableau d’épaule aiguë hyperalgique en lien avec une calcification en crise de résorption.

Parfois des infiltrations de dérivés de la cortisone

Pour lire la suite 🡺 JIM.fr – Prise en charge d’un syndrome douloureux sub-acromial : Recommandations de la HAS 2023

Ou m’écrire à 🡺 gacougnolle@gmail.com