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Description générée automatiquement Publié le 29/11/2022

La sédentarité et la pratique d’une activité physique ont un impact sur le cerveau et son développement.

Ainsi a-t-il été observé un lien entre les comportements sédentaires et un volume de matière grise amoindri localement, par exemple dans l’hippocampe.

Au contraire, l’activité physique régulière est associée à des volumes cérébraux plus importants.

Par exemple, chez l’enfant de corpulence normale, un niveau élevé d’endurance agit sur certaines structures (pallidum, thalamus, nucleus accumbens, amygdale, etc.).

Or, la forme de ces dernières est un indicateur de développement neuronal, et a été associée à certains scores de fonctionnement cognitif.

Comme les liens entre activité physique, sédentarité et structures sous-corticales chez l’enfant en surpoids ou obèse sont peu connus, une équipe multidisciplinaire et internationale pilotée par l’Université de Grenade (Espagne) a voulu en savoir plus.

Cent enfants âgés en moyenne de 10,1 ans, dont 40 filles ont été inclus dans ce travail, sur 110 recrutés.

Les structures sous-corticales ont été analysées par IRM.

Association avec le développement de certaines structures sous corticales

La sédentarité, mesurée par accélérométrie (ActiGraph GT3X+ porté 7 jours consécutifs), était associée à la contraction du thalamus gauche et du noyau accumbens droit (p<0,05).

La condition physique a été évaluée par une série de tests (Assessing Levels of Physical Activity fitness test).

Pour lire la suite 🡺JIM.fr – Possible influence de l’activité physique sur la plasticité cérébrale de l’enfant en surpoids

Ou m’écrire à 🡺 gacougnolle@gmail.com