Actualités  –  publiée le 15/12/2022 par Équipe de rédaction Santélog

Science Advances

L’étude sensibilise au risque de toute une gamme de maladies cardiovasculaires et respiratoires et de cancers, associé à ces toxines microscopiques même à de très faibles niveaux (Visuel Adobe Stock 231188955). Une image contenant texte

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De très faibles niveaux de pollution sont déjà meurtriers et beaucoup plus qu’on ne le pensait, concluent ces chercheurs de l’Université McGill qui attribuent aux particules fines plus d’1,5 million de décès prématurés chaque année.

L’étude, publiée dans la revue Science Advances, sensibilise au risque de toute une gamme de maladies cardiovasculaires et respiratoires et de cancers, associé à ces toxines microscopiques même avec une exposition à de très faibles niveaux.

L’Organisation mondiale de la santé (OMS, 2016) a estimé à plus de 4,2 millions de décès chaque année, les conséquences en termes de mortalité prématurée de cette exposition à long terme aux particules fines de la pollution PM2,5.

L’équipe de McGill rectifie aujourd’hui ces estimations : le nombre annuel de décès dus aux PM2,5 dans le monde pourrait être considérablement plus élevé.

Car ce risque de mortalité augmente de manière dose-dépendante dès les plus faibles niveaux de microparticules et même à des niveaux qui n’avaient pas été reconnus comme mortels jusque-là.

L’auteur principal, Scott Weichenthal, professeur d’épidémiologie et de biostatistiques à l’Université McGill suggère 1,5 million de décès supplémentaires dans le monde chaque année en raison de ces effets jusque-là négligés

Pour lire la suite 🡺 POLLUTION : Les particules fines meurtrières même à très faible niveau | santé log (santelog.com) 

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