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Description générée automatiquement Publié le 13/07/2023

La prévalence du surpoids et de l’obésité aux Etats-Unis a considérablement augmenté ces dernières années.

Une grande partie des données sur les associations IMC-mortalité proviennent de cohortes états-uniennes du XX e siècle et les preuves épidémiologiques d’une telle association ne sont pas cohérentes, voire paradoxales.

Le but de cette nouvelle étude était de d’examiner l’association entre l’IMC et la mortalité dans une population adulte américaine contemporaine, représentative, du XXIe siècle.

Une cohorte du XXIème siècle avec plus de 550 000 participants

Il s’agit d’une étude de cohorte rétrospective portant sur les données d’adultes américains ayant participé à la National Health Interview Study (NHIS), enquête représentative à l’échelle nationale, menée entre 1999 et 2018, et pour lesquels l’indice de masse corporel (IMC) a été enregistré.

Celui-ci a été calculé à l’aide de la taille et du poids autodéclarés et classés en 9 groupes (<18,5 ; 18,5–19,9 ; 20,0–22,4 ; 22,5– 24,9 ; 25–27,4 ; 27,5–29,9 ; 30,0–34,9 ; 35,0–39,9 ; ≥40 kg/m2).

La mortalité toutes causes confondues a été déterminée à partir du US National Death Index (NDI) jusqu’au 31 décembre 2019.

Le risque de mortalité toutes causes confondues a été établi à l’aide d’une régression multivariée des risques proportionnels de Cox, en ajustant les covariables, en tenant compte de la conception de l’enquête et en effectuant des analyses de sous-groupes pour réduire le biais analytique.

Pour lire la suite = JIM.fr – Où l’on confirme que l’IMC ne serait pas un facteur de risque indépendant de mortalité

Ou m’écrire à = gacougnolle@gmail.com