Actualités – publiée le 3/09/2023 par Équipe de rédaction Santélog
eLife
Au fil des études, les chercheurs identifient de nombreuses protéines qui peuvent jouer un rôle clé dans le développement ou la prévention de l’obésité, et, pour certaines, qui pourraient être des cibles de nouveaux traitements.
Ici, cette équipe de biologistes et de généticiens de l’Université de Californie Riverside décrypte, dans la revue eLife, de nouveaux mécanismes sous-jacents aux différences sexuelles pour l’obésité, avec des implications pour mieux la traiter, ici plutôt chez les femmes.
L’obésité est probablement le premier facteur associé à de moins bons résultats de santé physique, mentale et à une qualité de vie réduite.
Alors que sa prévalence est à la hausse, dépassant les 30 % aux États-Unis, la maladie est préoccupante en raison de ses comorbidités multiples et variables, dont le diabète et les maladies cardiovasculaires mais aussi des formes plus sévères voire mortelles de certaines maladies infectieuses, dont le COVID-19.
L’étude est menée sur la souris modèle d’obésité induite par un régime riche en graisses, et montre que par rapport aux mâles, les souris femelles sont protégées contre l’obésité et l’inflammation par une protéine immunitaire appelée « RELMalpha ».
« RELMalpha apparaît en effet responsable d’une partie des différences d’effets observées selon le sexe dans la réponse immunitaire à l’obésité », explique l’un des auteurs principaux, Meera G. Nair, professeur agrégé de sciences biomédicales à l’École de médecine de l’UC Riverside.
Pour lire la suite = OBÉSITÉ : Découverte d’une protéine qui protège les femmes | santé log (santelog.com)
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