Actualités – publiée le 22/12/2022 par Équipe de rédaction Santélog
PLoS Genetics
La génétique combinée à de longues années de scolarité peut favoriser le développement d’une myopie chez les enfants et les jeunes adultes, souligne cette équipe de l’Université de Cardiff (UK) qui identifie 5 variantes génétiques « coupables » à l’effet synergique lorsque combinées avec un effort de vision prolongé dans le temps.
En d’autres termes, le risque de myopie d’une personne porteuse de ces gènes est sérieusement aggravé par de longues années d’études.
Ces données publiées dans PLOS Genetics rappellent l’importance d’un suivi ophtalmologique régulier chez les enfants et les adolescents.
Car la myopie elle-même est associée à tout un spectre de troubles oculaires, ce qui en fait l’une des principales causes de déficience visuelle irréversible, plus tard, avec l’âge.
Cependant, la myopie se développe plus fréquemment à l’enfance et semble résulter d’une combinaison de facteurs génétiques, d’insuffisance d’activités en extérieur et des années passées à étudier.
Des études génétiques ont déjà identifié plus de 450 variantes génétiques associées à un risque accru de myopie, mais il a été démontré que la plupart de ces variantes augmentent spécifiquement le risque chez des personnes présentant également des facteurs de risque liés au mode de vie.
5 variantes génétiques majeures de risque de myopie, en cas de temps d’étude prolongé
L’étude qui a analysé les données génétiques et de santé de plus de 340.000 participants identifie et confirme les variantes génétiques qui peuvent conférer une susceptibilité à la myopie, en combinaison avec d’autres facteurs, comme faire des études intensives.
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