Actualités – publiée le 12/12/2022 par Équipe de rédaction Santélog
Cancer
Ces dermatologues de de l’Université de Californie Los Angeles (UCLA) identifient un sous-ensemble de patients atteints de mélanome précoce qui encourent un risque extrêmement réduit de mourir de la maladie.
Ces nouvelles données, présentées dans la revue Cancer, suggèrent que certains patients actuellement diagnostiqués « avec mélanome » pourraient, en fait, « se contenter » d’une résection précoce.
Enfin, ces résultats vont aider les cliniciens à déterminer quels patients avec mélanome, ont un très faible risque de décès.
Bien que le mélanome soit le cancer de la peau le plus grave, la plupart des patients ont aujourd’hui des chances élevées de survivre à la maladie. Alors qu’un grand nombre de cas sont « surdiagnostiqués » chez des patients qui, finalement, ne développent aucun symptôme, l’équipe de l’UCLA s’est mise en recherche des caractéristiques spécifiques à ces cas non évolutifs. Les chercheurs identifient un sous-ensemble de patients atteints de mélanome à stade précoce, au sein duquel presqu’aucun décès lié au mélanome n’a été recensé. Ces cas mieux documentés constituent une grande partie « des surdiagnostics ».
L’étude : l’auteur principal, le Dr Megan M. Eguchi et son équipe ont analysé les données de patients référencés dans la base américaine SEER (U.S. Surveillance, Epidemiology, and End Results), diagnostiqués en 2010 et 2011 avec un mélanome de stade 1 d’une épaisseur de 1,0 mm ou moins, non propagé aux ganglions lymphatiques.
Les chercheurs ont pu ainsi développer un modèle permettant d’identifier les patients présentant un très faible risque décès de leur mélanome dans 7 ans ainsi que ceux présentant un risque de décès plus élevé.
Parmi les 11.594 participants,
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