Publié le 15/06/2023
D’après le rapport Laville (avril 2023), 20 % des 6 – 17 ans seraient en surpoids, voire obèses pour plus de 5 % d’entre eux, avec de grandes disparités sociales.
Les répercussions physiques et mentales sont bien connues : estime de soi altérée, etc.
De plus, l’obésité de l’enfant fait le lit de celle de l’adulte et, par conséquent, de bien des complications comme les maladies cardiovasculaires, certains cancers, etc.
L’association de la pratique régulière d’une activité physique ou sportive et d’une réduction du temps de sédentarité est volontiers considérée comme un moyen efficace de prévention du surpoids.
En effet, la première augmente la dépense énergétique et la seconde limite, notamment, le grignotage de produits à haute charge calorique souvent associé au temps passé devant des écrans.
Enfin, les enfants et adolescents dont la durée de sommeil est inférieure à celle des recommandations sont, eux aussi, à risque d’obésité.
Bien qu’il ait déjà été montré que les comportements de mouvement sur 24 heures (M24h) influencent la santé, le débat reste ouvert sur la façon dont ils interagissent et, en particulier, quels sont leurs effets sur le surpoids dans différents groupes d’âge.
Dans une revue systématique avec méta-analyse qui vient d’être publiée, les auteurs ont évalué l’impact du respect des recommandations de M24h sur le surpoids et l’obésité chez les tout-petits (1-4 ans), les enfants (5-12 ans) et les adolescents (13-17 ans).
Pour lire la suite = JIM.fr – Manque d’activité physique et surpoids de l’enfant : faut-il faire bouger les lignes ?
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