Actualités  –  publiée le 26/05/2023 par Équipe de rédaction Santélog

European Heart Journal

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Les thérapies psychologiques, notamment par la parole peuvent contribuer à réduire le risque futur de maladies cardiovasculaires, en réduisant les symptômes dépressifs, souligne cette équipe de psychologues et de cardiologues de l’University College London (UCL).

L’analyse, présentée dans l’European Heart Journal, réaffirme l’efficacité des thérapies cognitivo-comportementales (TCC), pour traiter la dépression mais aussi réduire le risque de ses comorbidités.

L’utilisation de thérapies par la parole permet en effet, dans de nombreux cas de traiter efficacement la dépression, chez les adultes plus âgés, et cette gestion des symptômes dépressifs peut être liée à une réduction du risque de maladie cardiovasculaire.

Alors que les maladies cardiovasculaires, telles que les accidents vasculaires cérébraux (AVC) et les maladies cardiaques, restent la principale cause de décès dans le monde, sont responsables d’environ 1 tiers des décès soit près de 19 millions, chaque année dans le monde, il est essentiel de mieux gérer l’ensemble des facteurs qui contribuent à la prévalence croissante de ces maladies.

De précédentes études ont suggéré que les personnes souffrant de dépression présentent un risque accru d’environ 72 % de maladie cardiovasculaire au cours de leur vie.

Dépression et risque accru de maladie cardiovasculaire

L’étude analyse les données de 636.955 participants de plus de 45 ans ayant eu accès aux thérapies psychologiques entre 2012 et 2020 pour l’anxiété et la dépression.

Ces thérapies comprennent des TCC, des conseils et une auto-assistance guidée, avec des séances dispensées en face à face individuellement ou en groupe en ligne.

Les symptômes dépressifs ont été évaluées à l’aide de l’échelle PHQ-9 basée sur des facteurs tels que le manque d’intérêt à faire des choses, l’incidence de troubles du sommeil et de l’humeur.

Les chercheurs ont ensuite corrélé ces scores de dépression aux résultats de santé, notamment en santé cardiovasculaire.

Cette large analyse constate que :

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