Actualités – publiée le 13/11/2022 par Équipe de rédaction Santélog
Journal of Aging and Physical Activity
Oui, l’activité physique pourrait jouer un rôle bien plus important que les gènes dans la longévité.
C’est du moins la conclusion de cette large analyse menée à l’University of California – San Diego (UC San Diego), publiée dans le Journal of Aging and Physical Activity et qui précise l’influence des facteurs environnementaux et génétiques sur la longévité.
Alors que de précédentes recherches ont montré qu’une faible activité physique et un plus grand temps passé assis sont associés à un risque de décès plus élevé, ce risque est-il modifié si la personne « a de bons gènes » qui la prédisposent génétiquement à vivre longtemps ?
Le Dr Aladdin H. Shadyab, professeur adjoint à la Herbert Wertheim School of Public Health and Human Longevity Science de l’UC San Diego et son équipe apportent une première réponse, qui ne peut que responsabiliser.
Prédisposition génétique à la longévité ou pas, le mode de vie fait toute la différence
L’étude a suivi les niveaux d’activité physique de 5.446 femmes âgées de 63 ans et plus, en les jusqu’en 2020, en recensant la mortalité.
Ces participantes recrutées dans le cadre de l’étude OPACH (Objective Physical Activity and Cardiovascular Health Study) de la Women’s Health Initiative, ont été équipées d’un accéléromètre durant 7 jours afin de mesurer le temps passé à bouger, l’intensité de l’activité physique et le temps de sédentarité.
L’analyse révèle que :
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