ETHIQUE  –  Par Louise Claereboudt – le 10-01-2023

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Dans un avis publié ce mardi 10 janvier, deux comités d’éthique estiment que les systèmes d’intelligence artificielle utilisés pour le diagnostic médical peuvent constituer une aide précieuse pour les soignants.

Mais un contrôle humain doit être introduit à chaque étape de leur conception et de leur utilisation.

Alors que les systèmes d’intelligence artificielle utilisés pour le diagnostic médical irriguent désormais tout le champ de la pratique médicale, le Comité national pilote d’éthique du numérique (CNPEN) et le Comité consultatif national d’éthique pour les sciences de la vie et de la santé ont été saisis en juillet 2019 par le Premier ministre pour identifier les enjeux éthiques de leur utilisation.

En résultent 16 recommandations et 7 points de vigilance.

« Le numérique et en particulier l’intelligence artificielle en santé ouvrent des perspectives majeures de transformation de notre système de santé avec des capacités de renforcement significatif de la qualité des diagnostics et des soins au service des patients », estiment les instances dans un communiqué commun, joint à leur avis, rendu public ce mardi.

A l’instar de la détection de lésions invisibles à l’œil, illustrent-elles.

Ces IA « permettent de traiter très rapidement des cas assez aisés à diagnostiquer mais répétitifs, et libèrent ainsi du temps médical pour échanger avec le patient ».

Toutefois, ces outils engendrent une transformation majeure de la relation soignants-patients mais aussi de l’organisation des soins.

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