Publié le 23/12/2022
Les maladies cardiovasculaires (MCV) sont l’une des principales causes de décès chez les femmes dans le monde, malgré de substantiels progrès dans leur prévention et leur traitement.
Les femmes sont exposées aux facteurs de risque habituels, comme l’obésité, l’hypertension artérielle, l’inactivité physique ou le tabagisme.
Certains ont une prévalence plus élevée, comme la migraine, associée au risque d’AVC, qui est trois fois plus fréquente chez les femmes.
Enfin, certains facteurs leur sont spécifiques : diabète gestationnel, troubles hypertensifs de la grossesse, etc.
Depuis longtemps, des interventions tentent de modifier les profils à risque de MCV. Or, elles ont surtout été évaluées en postménopause.
Il serait donc utile de disposer de moyens sûrs pour infléchir le risque de MCV chez des femmes plus jeunes.
D’autre part, en considérant le coût élevé des MCV chez les femmes, par exemple aux États-Unis, celui-ci atteignait 100,3 milliards de dollars en 2017-2018, et compte tenu des contraintes qui s’exercent sur le budget des soins de santé, il paraît intéressant d’établir le rapport coût-efficacité de ces actions.
Trouver de nouvelles méthodes plus efficaces
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