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Premier relais de la flamme olympique, le trois-mâts barque Belem sera chargé de convoyer la flamme olympique entre les ports du Pirée en Grèce et de Marseille en France.
Au cours de son périple de 12 jours sans escale, la flamme sera conservée dans une « lampe de mineur », au milieu des boiseries du grand roof.
Mais l’équipage et les trois « gardiens de la flamme » ne s’interdisent pas de lui faire faire un tour dans la timonerie ou la mâture…
Le Belem transportera la flamme olympique entre Le Pirée et Marseille. | PRESSE OCEAN-RC
Rémi CERTAIN / Presse Océan. Publié le 22/04/2024 à 12h30
Embarquer une flamme à bord d’un voilier de bois et d’acier ?
Pour un non averti, le challenge peut s’avérer périlleux.
« Aucun risque », nous rassure l’expérimenté équipage du Belem, vénérable trois-mâts nantais en charge d’assurer le premier relais des Jeux olympiques de Paris 2024.
Et quel relais : près de 2 000 km à travers la Méditerranée, à parcourir en douze jours et sans escale, entre les ports du Pirée en Grèce et de Marseille en France.
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Après une nuit à l’ambassade, la flamme embarquera le 27 avril
Remise au comité organisateur français vendredi 26 avril dans le stade panathénaïque d’Athènes, berceau des JO de l’ère moderne, la flamme montera à bord du Belem samedi 27 avril.
La veille, elle dormira au sein de l’ambassade de France à Athènes, confie Christelle de Larauze.
Qui ne tarde pas à lever les inquiétudes du néophyte : À bord, la flamme n’est pas transportée à l’air libre mais sous la forme d’une lanterne dite de mineur.
Tout est sécurisé, explique la déléguée générale de la fondation Belem Caisse d’Épargne.
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