Actualités  –  publiée le 14/11/2022 par Équipe de rédaction Santélog

JAHA

Une bonne fonction physique est déterminante pour prévenir le risque de maladie cardiovasculaire à l’âge avancé (Visuel Adobe Stock 292841061).

Cette large étude de l’Université Johns Hopkins (Baltimore), présentée dans le Journal of the American Heart Association (JAHA) réaffirme l’importance d’entretenir et de maintenir une bonne fonction physique pour prévenir le risque de maladie cardiovasculaire à l’âge avancé.

En d’autres termes, à l’âge 65 ans et plus, une faible fonction physique est indépendamment associée à un risque accru de crise cardiaque, d’insuffisance cardiaque et d’accident vasculaire cérébral (AVC).

L’implication est la pratique régulière d’une activité physique adaptée. 

Il s’agit d’une nouvelle analyse des données de l’étude de cohorte ARIC (Atherosclerosis Risk in Communities), qui suit 15.792 participants, âgés de 45 à 64 ans à l’inclusion (de 1987 à 1989), afin d’identifier les causes d’athérosclérose (plaque ou accumulation de graisse dans les artères).

L’analyse utilise ici toute une batterie de tests de la performance ou fonction physique, qui comprend la vitesse de marche, la force des jambes et l’équilibre.

La fonction physique prédit précisément le risque cardiovasculaire

L’étude : sur la base de contrôles annuels et semestriels, réalisés à partir de 2012, l’étude montre qu’une faible fonction physique prédit l’incidence future des maladies cardiovasculaires chez la personne âgée et au-delà des facteurs de risque traditionnels de maladie cardiaque, que la personne ait ou non des antécédents de maladie cardiovasculaire.

Pour lire la suite 🡺  FONCTION PHYSIQUE : À 65 ans, elle détermine le risque cardiovasculaire | santé log (santelog.com)

Ou m’écrire à 🡺 gacougnolle@gmail.com