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Description générée automatiquement Dr Patrick Laure | 31 janvier 2024

2024, année olympique ! Les fédérations sportives de chaque pays s’apprêtent à envoyer à Paris leurs meilleurs éléments afin d’y décrocher, potentiellement, une médaille.

À ce niveau, la santé des sportifs fait l’objet de soins minutieux.

Pour le Comité International Olympique (CIO), c’est un sujet qui apparaît dès le deuxième chapitre de sa Charte, dans lequel il annonce « encourager et soutenir les mesures relatives aux soins médicaux et à la santé des athlètes ».

Le CIO s’est également doté d’une Commission médicale et scientifique qui produit de nombreuses publications et ouvrages en médecine du sport.

Les fédérations sportives internationales ne sont pas en reste, même si, assez souvent, la lutte contre le dopage prend le pas sur la santé.

Enfin, sur le plan national, ce sont surtout les sportifs de haut niveau qui bénéficient de conseils, voire d’un suivi médical individualisé et organisé, comme en France.

La question de la santé se pose-t-elle à un niveau de pratique moindre, c’est-à-dire dans les associations sportives ?

En d’autres termes, les fédérations sportives, auxquelles les associations sont affiliées, en font-elles un sujet de préoccupation pour les adhérents, qui représentent la très grande majorité de leurs licenciés ?

Des bons et des mauvais élèves

Deux praticiens se sont intéressés à la situation en Suisse (Clinica Ars Medica, Manno).

Ils ont exploré les sites Internet de l’ensemble des 42 fédérations nationales membres de la Swiss Olympic Association.

À partir de la page d’accueil, ils ont effectué une recherche à l’aide de 13 mots-clés (ex : certificat médical, sport santé, santé enfant, conseil d’entraînement, prévention blessures).

Pour lire la suite 🡺 JIM.fr – Journal International de Médecine

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