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Description générée automatiquement Publié le 09/01/2024

Le processus naturel de vieillissement est associé à une diminution de l’immunité cellulaire qui prédispose les personnes âgées à une réactivation du virus varicelle zona (VZV) et donc au zona, affection neurocutanée souvent douloureuse pouvant affecter durablement la qualité de vie.

Deux types de vaccin sont disponibles pour prévenir le zona : l’un administré en dose unique est fait à partir du virus vivant atténué (LZV), l’autre est un vaccin recombinant (RZV) qui comprend une petite fraction du virus incapable de se répliquer. Deux injections à deux mois d’intervalle sont recommandées.

Des auteurs ont tenté de préciser dans quelle mesure des personnes âgées en bonne santé recevant une vaccination anti VZV sont moins susceptibles de développer un zona et quels en étaient les effets secondaires.

Ils ont recherché dans Cochrane, Medline, Embase, Cinahl, Lilacs et trois registres d’essais, les études randomisées contrôlées ayant comparé l’incidence du zona chez des sujets âgés (en moyenne 60 ans) en bonne santé ayant reçu une vaccination anti VZV quelle qu’elle soit et chez des sujets âgés ayant reçu un vaccin placebo ou un vaccin contre la varicelle, ou un traitement antiviral ou rien.

Sur les 26 études identifiées, seules trois ont évalué l’incidence cumulative de zona entre un groupe de sujets vaccinés contre le zona et un groupe de sujets ayant reçu un vaccin placebo.

Efficace, mais sans certitude élevée

Pour lire la suite 🡺 JIM.fr – Faut-il vacciner contre le zona les sujets âgés en bonne santé ?

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