Actualités – publiée le 14/09/2023 par Équipe de rédaction Santélog
NMCD
La combustion des graisses pendant l’exercice varie considérablement d’une personne à l’autre, explique cette étude menée par des endocrinologues de l’Icahn School of Medicine at Mount Sinai (New York), qui prônent ainsi les limites des entrainements standards et soulignent la nécessité d’une approche plus personnalisée de l’exercice.
Ces conclusions, publiées dans la revue Nutrition, Metabolism and Cardiovascular Diseases (NMCD) contribuent à expliquer pourquoi la meilleure fréquence cardiaque pour brûler les graisses diffère pour chaque individu et ne correspond souvent pas à la « zone de combustion des graisses » sur les appareils d’exercice des clubs de sport.
Des variations individuelles dans la combustion des graisses pendant l’exercice
L’étude apporte précisément des graphiques des courbes de combustion des graisses chez différents participants qui mettent en évidence ces différences de taux de combustion des graisses à différentes intensités d’exercice qui impliquent la nécessité de plans d’exercices personnalisés.
Les tests d’effort pourraient ainsi être un outil utile pour aider chaque patient qui souhaite atteindre un objectif particulier de perte de poids.
L’auteur principal, le Dr Hannah Kittrell, chercheur à l’Icahn en intelligence artificielle appliquée à la médecine, souligne que « les personnes souhaitant perdre du poids ou de la graisse peuvent opter pour une pratique intense de l’exercice qui doit permettre un taux maximal de combustion des graisses.
La plupart des machines d’exercice offrent une option « zone de combustion des graisses », en fonction de l’âge, du sexe et de la fréquence cardiaque.
Cependant, cette zone de combustion des graisses recommandée ne correspond pas obligatoirement au métabolisme et aux objectifs de perte de poids de chaque utilisateur ».
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