Actualités – publiée le 12/06/2022 par Équipe de rédaction Santélog
Cellular and Molecular Life Sciences
Les crises d’absence touchent environ 10 % des enfants épileptiques et peuvent se produire des dizaines de fois par jour.
Cette équipe de neurologues de la Ruhr-University Bochum a tenté de mieux comprendre, chez la souris modèle d’épilepsie, les processus sous-jacents au niveau cellulaire et moléculaire dans le cerveau, responsables de cette forme d’épilepsie.
Ces travaux, présentés dans la revue Cellular and Molecular Life Sciences, suggèrent que la stimulation de certaines zones cérébelleuses pourrait permettre de réduire les crises d’absence.
L’équipe dirigée par le Dr Jan Claudius Schwitalla et le professeur Melanie Mark du groupe de recherche RUB Behavioral Neuroscience rappelle que plus de 1,5 million de personnes dans le monde souffrent de crises d’absence, que ces crises d’absence ou « petit mal », peuvent se reproduire quotidiennement jusqu’à une centaine de fois et peuvent obérer le fonctionnement normal.
Les patients tombent dans une sorte de paralysie du comportement qui dure quelques secondes. Enfin, les crises d’absence touchent particulièrement les enfants âgés de 4 à 12 ans.
Une activité cérébrale très largement et profondément altérée
Les enregistrements montrent une activité cérébrale présentant des « décharges de pointes-ondes » (SWDs : spike-and-wave discharges) …
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