Actualités  –  publiée le 17/11/2023 par Équipe de rédaction Santélog

Nature Genetics

Ces travaux apportent de nouvelles informations sur les raisons pour lesquelles la maladie se développe, de nouvelles voies moléculaires à cibler et ainsi de nouveaux traitements possibles (Visuel Adobe Stock 432955351) Une image contenant texte, Police, logo, conception

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Cette recherche, la plus large étude pangénomique jamais menée sur l’épilepsie apporte, dans la revue Nature Genetics, de nouvelles informations sur les raisons pour lesquelles la maladie se développe, de nouvelles voies moléculaires à cibler et ainsi de nouveaux traitements possibles.

Coordonnée par la Ligue internationale contre l’épilepsie, par des scientifiques RCSI University of Medicine and Health Sciences (Dublin), la recherche identifie des modifications spécifiques de l’ADN qui augmentent le risque d’épilepsie.

Une grande étape a été franchie dans la compréhension du développement de l’épilepsie qui reste un trouble cérébral complexe, avec de nombreux types différents, à composante génétique et parfois héréditaire.

Plus de 150 chercheurs, basés en Europe, en Australie, en Asie, en Amérique du Sud et en Amérique du Nord, ont mené cette recherche dans le cadre du Consortium de la Ligue internationale contre l’épilepsie (ILAE) sur les épilepsies complexes.

L’analyse de l’ADN de près de 30.000 patients épileptiques et de 52.500 témoins, exempts du trouble, a pu ainsi mettre en évidence des zones de l’ADN qui semblent impliquées dans le développement de l’épilepsie.

26 zones distinctes de l’ADN en cause

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