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Description générée automatiquement Dr Roseline Peluchon | 02 mai 2024

Le concept de l’école inclusive nécessite des aménagements et des adaptations afin de permettre à chaque enfant d’être accueilli en toute sécurité.

La réactualisation récente du PAI (Plan d’accueil individualisé) fait partie de ces adaptations et devrait permettre une meilleure prise en charge des enfants présentant une allergie.

C’est le cas aussi d’une note de la direction générale de l’enseignement scolaire, parue en 2019, demandant aux recteurs et directeurs d’établissements scolaires du second degré d’équiper leurs établissements de stylos auto-injecteurs d’adrénaline pour traiter les anaphylaxies inaugurales, après avis du SAMU.

Cette note favorise un accès plus facile à la dotation d’auto-injecteurs, stipulant qu’ils doivent être situés dans un endroit connu de tous et accessibles à tout moment, y compris lors des activités de sport.

Mais, si l’État finance les auto-injecteurs d’adrénaline pour les établissements du second degré, ce n’est pas le cas pour les écoles primaires, où ils sont à la charge des municipalités.

La nécessité d’un tel équipement pour tous les établissements doit donc être pesée.

Guillaume Pouessel et Clarisse Santos ont développé chacun leurs arguments. Et ils ne sont pas d’accord.

Pour : un risque d’anaphylaxie bien réel et un traitement efficace

G. Pouessel est le premier à exposer ses arguments, favorables à la mise à disposition de stylos auto-injecteurs dans toutes les écoles.

D’entrée, il remarque que les allergies alimentaires sont fréquentes et que le risque d’anaphylaxie est réel.

En France, selon la cohorte ELFE, 6 % des enfants d’âge scolaire sont allergiques et la prévalence des réactions anaphylactiques augmente, notamment chez le jeune enfant.

Pour lire la suite 🡺 JIM.fr – Journal International de Médecine

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