Publié le 28/07/2022
Les capacités d’apprentissage des élèves et leurs résultats scolaires sont améliorés lorsqu’ils s’adonnent régulièrement à un sport.
Différents phénomènes expliquent ces conséquences positives : activation de la neurogenèse, facilitation de la prise de décision, amélioration de l’attention, de la mémorisation et de la confiance en soi, atténuation des effets du stress, diminution de l’anxiété et de la dépression.
Chez les rongeurs, il a même été observé des modifications épigénétiques dans l’expression des gènes du cerveau, lesquelles se retrouvaient dans les générations suivantes.
Chez les invertébrés, la recherche suggère que ces effets pourraient avoir lieu dès les premiers stades de l’évolution animale et donc prendre une signification adaptative universelle.
Des chercheurs du Koltzov Institute of Developmental Biology (Moscou) ont réalisé une mini-revue de la littérature, afin d’explorer la signification biologique et l’origine évolutive de ces résultats.
En pratique, ils ont relevé les publications récentes étudiant les effets de la locomotion à intensité élevée sur les fonctions cérébrales de différents individus issus des protostomiens.
De la prise de décision de Lymnaea stagnalis
Pour lire la suite 🡺 JIM.fr – Cerveau et activité physique : ce que nous apprennent les invertébrés
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