Une image contenant texte, Police, logo, Graphique

Description générée automatiquement Dr Patrick Laure | 21 octobre 2024

La pratique régulière d’une activité physique ou sportive (APS) agit sur les fonctions cognitives, dont l’attention, la mémoire, les fonctions visuospatiales et celles du langage, et les fonctions exécutives.

Ces dernières rassemblent les compétences qui, en résumé, permettent une action organisée pour atteindre un objectif donné.

Elles se composent du contrôle inhibiteur (inhibition d’un stimulus de distraction), de la mémoire de travail, de la planification et de la flexibilité cognitive.

L’APS exercerait un effet bénéfique par l’intermédiaire du facteur neurotrophique dérivé du cerveau (BDNF), lequel contribue à la neuroprotection, à la neurogenèse, à la consolidation de la mémoire, à l’excitabilité cérébrale et à la connectivité neuronale.

Activité physique et sportive chez la femme en bonne santé

Ces résultats proviennent le plus souvent d’études générales, qui ne distinguent pas les participants selon leur sexe.

Or, l’impact de l’APS, et de ses effets sur les fonctions cognitives, peut s’avérer différent entre les hommes et les femmes adultes.

Des disparités qui pourraient être intimement liées aux hormones sexuelles (ex. : œstrogènes) ou à leurs conséquences (ex. le cycle menstruel).

Enfin, à ce jour, la littérature fournit peu d’indications sur la nature de l’activité la plus favorable aux fonctions cognitives : devrait-elle être « sportive » ou simplement « physique » ?

Des chercheurs canadiens (Ottawa) ont tenté d’en savoir plus en conduisant une revue de la portée sur les effets d’une activité aérobie (dite « physique ») et de la pratique sportive chez des femmes majeures en bonne santé.

Pour lire la suite 🡺 Bénéfices cognitifs de l’activité physique féminine, si elle n’est pas excessive

Ou m’écrire à 🡺 gacougnolle@gmail.com