Actualités  –  publiée le 26/07/2022 par Équipe de rédaction Santélog

JAHA

Entretenir sa santé cardiovasculaire par le mode de vie, en particulier par la pratique de l’exercice et un régime alimentaire équilibré, permet de compenser, dans une large partie, les gènes de vulnérabilité et de risque d'AVC (Visuel Adobe Stock 164091433) Une image contenant texte

Description générée automatiquement

Entretenir sa santé cardiovasculaire par le mode de vie, en particulier par la pratique de l’exercice et un régime alimentaire équilibré, permet de compenser, dans une large partie, les gènes de vulnérabilité et de risque d’AVC.

Même chez les personnes à risque élevé d’AVC, l’adoption d’un mode de vie favorable à la santé cardiovasculaire permet de réduire considérablement le risque d’AVC au cours de la vie, conclut cette étude de l’Université du Texas à Houston publiée dans le Journal of the American Heart Association (JAHA).

Nous connaissons bien l’impact des facteurs de risque modifiables bien gérés, en particulier le traitement de l’hypertension, sur le risque d’AVC, rappelle l’auteur principal, le Dr Myriam Fornage, professeur de médecine moléculaire et de génétique humaine à l’Université du Texas : « notre étude confirme qu’il est également possible d’atténuer le risque à vie d’AVC en modifiant d’autres facteurs de risque, et qu’indépendamment du score de risque polygénique, le maintien d’une bonne santé cardiovasculaire diminue le risque d’AVC à vie.

Les facteurs de risque modifiables essentiels dans la prévention des AVC

L’étude : il s’agit de l’analyse des données de l’étude ARIC (Atherosclerosis Risk in Communities), une étude communautaire menée auprès de plus de 11.500 participants âgés de plus de 45 ans, à 45 % des femmes, exempts d’antécédent d’AVC à l’inclusion.

Les participants à ont été suivis pendant 28 ans.

L’équipe a donc estimé le risque à vie d’un premier AVC en fonction des niveaux de risque génétique sur la base d’un score de risque polygénique.

Les participants ont donc pu être classés comme ayant un risque génétique faible, intermédiaire ou élevé.

Ensuite, les chercheurs ont évalué l’impact de l’adhésion aux recommandations « Life’s Simple 7 », un ensemble de 7 facteurs de risque modifiables : le statut tabagique, la pratique de l’activité physique, le choix d’une alimentation saine, l’indice de masse corporelle, le niveau de cholestérol total, la tension artérielle et la glycémie.

L’analyse révèle que :

Pour lire la suite 🡺 AVC : La forme cardio compense le risque génétique | santé log (santelog.com)

Ou m’écrire à 🡺 gacougnolle@gmail.com