Dr Patrick Laure | 13 Février 2024
Le plan d’action mondial pour l’activité physique et la santé 2018-2030 de l’Organisation Mondiale pour la Santé vise à diminuer de 15 % l’inactivité physique des adultes et des adolescents.
Il propose, notamment, le recours à des interfaces numériques comme les applications pour smartphones, le conseil à distance ou encore le port de capteurs de mouvement.
Ces derniers prennent la forme de bracelets (ou de montres) d’activité, de ceintures thoraciques ou de traceurs GPS pour ne citer que les principaux.
Ils déterminent, en temps réel, le nombre de pas, la distance parcourue, la dépense énergétique, le temps passé à dormir, etc.
Leur marché est en plein essor, même si les réfractaires à leur usage sont légion.
La plupart des revues systématiques consacrées à ces outils leur confèrent une certaine efficacité pour augmenter la pratique d’une AP, au moins à court ou moyen terme.
En revanche, les résultats sont contrastés quand il s’agit d’évaluer leur impact sur les comportements sédentaires ou sur l’augmentation de l’intensité de l’AP.
Une revue parapluie incluant 51 revues systématiques
Pour approfondir le sujet, une équipe internationale (Italie, Suède, États-Unis, Espagne) vient de publier une revue parapluie, synthèse des revues systématiques et/ou méta-analyses déjà publiées, qui s’apparente à une synthèse méthodique, mais qui est réalisable plus rapidement.
Pour lire la suite 🡺 JIM.fr – Journal International de Médecine
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